Les biophotons, sont des photons de lumière, dans la plage des ultra-violets produits par un système biologique.
Les récentes découvertes nous apprennent que nos cellules et l’ADN utilisent ces biophotons pour stocker et communiquer des informations. Les biophotons, cependant, sont des particules légères générées dans le corps et constamment émises par la surface du corps.
Tout commence dans les années 1920, l’embryologiste russe Alexander Gurwitch découvre une émition ultra faible de photons ultra-violets dans les tissus vivants. Ils appelle cette radiation les rayons mitosiques en supposant qu’elle a un effet stimulant sur la division cellulaire. Il reçut le prix Staline pour cette découverte.
À LA DÉCOUVERTE DES BIOPHOTONS AVEC FRITZ-ALBERT POPP.
En 1953 les travaux sont repris par Irving Langmuir. Mais c’est en 1981 qu’un Bio physicien Allemand du nom de Fritz-Albert Popp arrive à démontrer qu’il existe une émission de biophotons au niveau de l’ADN cellulaire et les hypothèses de l’existence d’un champ énergétique dans le corps des êtres vivants se développent à partir des années 2000.
Cette hypothèse commence à trouver sa place dans le milieu scientifique. Ainsi en 2003 l’equipe de Cohen et Popp démontrent que les biophotons du corps humains forment un réseau de cannaux de lumière dans le corps. La fonction des biophotons est supposé réguler le transfert d’énergie et d’informations entre différentes parties du corps.
En 2005, Popp confirme que le réseau de biophotons a une structure identique aux méridiens d’acupuncture. ( source: Institut international de biophysique, Landesstiftung Hombroich, Neuss, Allemagne)
En 2008, il suggère les principes de fonctionnement des thérapies énergétiques par les interactions électromagnétiques et les biophotons. (source: wikipedia)
LES BIOPHOTONS SONT-ILS UNE EXPLICATION POUR LES THÉRAPIES HOLISTIQUES?
Pour la communauté scientifique l’existence des ces biophotons est bien réelle.
En revanche c’est leur fonction qui est pointé du doigt par l’association Française pour l’information scientifique. Une récent article de l’Afis le sujet est clairement tourné en dérision: (source AFIS)
« Il était une fois… des photons ultra-faibles » ou encore « La lumière enchantée »
Pourtant il n’y a aucun contre argument de leur part, si la communication entre les cellules par le biais des biophotons étaient impossible, il y aurait des études pour en prouver le contraire. Or il n’en est rien.
DES RECHERCHES ENCOURAGEANTES SUR LES CANAUX D’ÉNERGIE.
En effet le NCBI qui est l’institut nationale pour la recherche biologique moléculaire n’a pas le même discours que l’AFIS : (source: US National Library of Médecine)
Des recherches subtiles sur l’énergie dans le Qi et le prana nous mènent à une myriade de labyrinthes de pistes scientifiques.
Le Qi, l’équivalent énergétique chinois du Prana, est mesuré dans des systèmes d’acupuncture et son flux est destiné à promouvoir la santé. Nous connaissons même certains des canaux par lesquels l’énergie Qi semble circuler. Les canaux sont appelés système de Bonghan, visibles dans certaines parties du corps. Nous ne savons toutefois pas quel type d’énergie physique circule dans ces conduits. Est-ce que ce sont des particules électromagnétiques qui roulent à travers ces systèmes de canaux interconnectés?
Il a été également démontré que ces actions peuvent se faire par activation ou inhibition des processus intra-cellulaire. Ainsi des cellules irradiées peuvent transmettre des informations à des cellules non irradiées.
LA PROJECTION DE BIOPHOTONS OBSERVÉS À L’AIDE DE FILTRES.
Van Wijk et Ackerman ont bien mis en valeur les émissions photoniques cutanées. Ils ont aussi observé que le corps sait réagir de manière systémique à des filtres colorés (25 ou 28 ou 44A Kodak Wratten) présentés dans la proche périphérie du corps, à distance et donc sans contact avec lui.
Ainsi, lorsque le filtre coloré est présenté au niveau de la paume de la main gauche, à 7 cm du corps, les auteurs constatent une émission de biophotons sur le dos de la même main, ainsi que sur le front du sujet testé, cela dans l’obscurité complète.
Les chercheurs rapportent le fait à un effet systémique, parlent de « human field », avec des guillemets prudents autour de « field ». Mais ils envisagent l’existence d’un système sensoriel inconnu lié à cet espace autour du corps. Il est en effet difficile d’échapper à cette hypothèse après avoir lu leur travail expérimental, rigoureux et quantifié. (source: Daniel Courty Docteur de l’EHESS de Paris) PDF
UNE NOUVELLE ENTITÉ ANATOMIQUE « LE PÉRIDERME ».
C’est ici la périphérie de la peau qui nous intéresse, comme espace porteur d’informations projetées : comme organe qui construit l’interface du corps. Définissant les deux espaces interne et externe, on sait que la peau s’organise en trois couches : l’hypoderme, le derme, et l’épiderme.
Il nous semble judicieux maintenant d’évoquer une couche supplémentaire qui, à partir de l’épiderme, est un champ qui diffuse sur une hauteur de 5-7 cm à 20-22 cm environ. Puisque cette couche pour l’instant n’a pas de nom officiel, nous proposons de l’appeler le « Périderme ».
Une approche biophysique, quantique et dynamique ouvre sur une Médecine de l’Information qui peut apporter une nouvelle richesse à l’investigation du clinicien. (source: Daniel Courty Docteur de l’EHESS de Paris) PDF
D’OÙ PROVIENNENT LES BIOPHOTONS?
Dans le corps humain certains lieux ont été noté comme source d’émission de biophotons. Le cerveau en premier lieu, dans cette zone les ondes pourraient suivre les axones myélinisés, ainsi cela signifie que les neurones utilisent la communication photonique en plus des signaux électro-chimiques.
Le fascia est aussi une zone d’émission de biophotons, ce tissu fascia entoure toutes les structures corporelles créant ainsi une continuité structurelle ce qui est particulièrement important dans la notion de transmission de bioinformations. (source: wikipedia)

Des études ont montré que la méditation entraîne des modifications physiologiques et biochimique, des modifications se produisent également dans les émissions de biophotons mesurés au niveau des mains et du front et d’autres emplacements anatomiques. Ces modifications se retrouvent à long terme aussi dans la pratique de la méditation régulière.
L’équipe de Wiljk à également montré que des séances de Reiki entraînait une modification du nombre de biophotons émis. (source: Faculty of Biology, Utrecht University, Utrecht, The Netherlands)
THÉRAPIES HOLISTIQUES, UN DOCUMENTAIRE QUI SUSCITE LA POLÉMIQUE;
Les commentaires sous cet extrait de moins de trois minutes, sont assassins. Y est présenté Gilles Bomal, un homme au « métier un peu particulier » : il est magnétiseur et coupeur de feu.
Gilles aurait-il des pouvoirs surnaturels ? Ses patients, eux, en sont convaincus. https://t.co/RpgdwLfnlW #13h15 pic.twitter.com/jcEXYjMWjt
— France 2 (@France2tv) July 30, 2019
Cliquez deux fois pour lancer la vidéo (mobile)
Sur Twitter, les internautes n’ont pas tardé à taxer Gilles Bomal de « marabout », de qualifier son activité de « charlatanisme », de « placebo » ou encore le reportage de « bouse obscurantiste », chargée en « foutaises. »
Les spécialistes en médecine s’insurgent eux aussi de la présentation par France 2 de cette profession aux résultats décriés. « C’est une vidéo problématique à bien des égards »
« Dans ce reportage, on vous présente un magicien, poursuit le Dr Jérémy Descoux. Et ce n’est pas parce qu’on utilise le conditionnel ou une périphrase que le message est atténué. (source: L’express)
Comme on peut le constater, cette pratique est largement critiquée et discréditée suscitant même une profonde colère!! mais pour quelle raison ?? Pourtant, la situation et tout de même paradoxale. En effet ces guérisseurs seraient régulièrement appelés dans les hôpitaux!!
DES GUÉRISSEURS DANS LES HÔPITAUX.
Un article du figaro affirme que cette pratique est largement répandue dans les hôpitaux. (source: Le figaro)
« C’est ainsi que discrètement, dans les hôpitaux, les «coupeurs de feu» sont appelés pour soulager les douleurs des brûlures occasionnées par un accident ou lors de traitements du cancer par radiothérapie. Leurs numéros de portables figurent au tableau des services d’urgences de nombreux établissements.
De même, certains généralistes font appel à des magnétiseurs pour traiter les zonas, l’eczéma ou les brûlures. C’est le cas du Dr Michel Gouiric, au centre médical de Castanet-Tolosan, qui témoigne.
«Si le patient peut tirer une amélioration de son état en complément et sans interférence avec son traitement médical, pourquoi se priver de cet adjuvant?»
Sources: Institut international de biophysique, Landesstiftung Hombroich, Neuss, Allemagne, Le figaro, L’express, Daniel Courty Docteur de l’EHESS de Paris, AFIS,
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